Adjara Konkobo est une doctorante Burkinabè, inscrite en anthropologie à l’EHESS/Marseille. Ses recherches doctorales sont axées sur les questions conjugales et familiales, et spécifiquement sur les ruptures des unions conjugales et leurs effets sur les pratiques matrimoniales et la cohésion familiale au Burkina Faso.
Elle a préalablement travaillé dans divers projets et programmes, sur des thématiques liées à la santé (VIH, avortement, Handicap et VIH), à la famille et au genre FAGEAC (Familles, genre et activités en Afrique de l’Ouest) ; à la religion et aux migrations (Religion et insertion de migrants), que ce soit en milieu rural comme urbain, depuis qu’elle est accueillie en 2008 par l’IRD/Ouaga (Institut de Recherche pour le Développement/ Burkina Faso). A partir de 2014, elle a commencé à s’intéresser aux questions politiques et décentralisation. Elle est par ailleurs membre de l’Association pour l’anthropologie du changement social et du développement (APAD), et de l’Association des Études Mandé (MANSA).